Le chemin
Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.
Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.
C’est marrant, depuis que mes enfants sont nés, j’ai pour objectif de les aider à trouver leur passion. Un peu comme le Graal. Et c’est marrant parce que, depuis que j’ai lu cette phrase, je pense souvent à la citation de « Happiness is not a destination, it’s a way of life ». Et pourtant je n’ai jamais fait le lien entre les deux. Jamais pensé que la passion pouvait tout simplement être une façon de vivre sa vie à fond. Quoiqu’elle propose. Que ce soit se sortir des impasses ou surfer sur les moments de grâce.
Merci Terry Trespicio pour cette analyse pleine de clarté et de bon sens.Read More
Voilà des questions. Des question à propos des enfants. Des questions à propos des adultes. Des questions à propos des adultes que les enfants vont devenir. Des adultes que l’on voudrait qu’ils soient, des adultes que l’on voudrait qu’ils ne soient pas. De savoir s’il juste de vouloir ou de ne pas vouloir.
Aux hommes. Au caractère humain de leur futur comportement. Aux risques de ne pas se conformer. Aux risques de se trouver en marge. Aux risques de refuser un certain déterminisme. Aux risque de refuser une certaine passivité. Aux conséquences d’un positionnement en marge de ce qui est habituel de faire. Aux contradictions entre une vision et un mode de vie. A l’ascèse qu’il nous faudrait pratiquer harmoniser tout ça.
Quoique l’on voit, ce n’est jamais que notre réalité. La notre. Celle que notre cerveau a reconstitué à partir des éléments visuels qu’il a captés et analysés.
Isaac Lidsky est entrepreneur, éclectique, brillant… et aveugle. D’après lui son handicap est sa force, et quand on l’écoute on arrive presque à en être convaincus.
Parce qu’être aveugle c’est ne plus avoir les préjugés liés au regard des autres sur soi, ne pas se fier aux apparences, remettre en question beaucoup de nos certitudes… et peut-être libérer de la place dans notre cerveau pour penser autrement. Autrement que par notre vue dont l’usage est aujourd’hui certainement disproportionné par rapport à nos autres sens. Etre aveugle c’est voir les choses dans leur globalité, ne pas s’arrêter à une première impression, et laisser nos sens et notre coeur nous apporter la vision que l’on n’avait peut-être jamais eue. Read More
Parfois on fait n’importe quoi. N’importe quoi genre vraiment n’importe quoi. Sur le coup on ne s’en rend pas forcément compte. Et puis d’un coup on se réveille et c’est trop tard. C’est fait.
Dans le doute, abstiens-toi. Bah oui. Encore aurait-il fallu douter. Encore aurait-il fallu ne pas être dans cette bulle de sensation quasi-alcoolique qui parfois fait faire des choses débiles en état de pleine sobriété. Comme enivré(e) par nos sensations. Comme envivré(e) par nos émotions. La confiance, l’enthousiame, l’envie, le manque, la colère, la peur.Read More
Parfois, les nuits sont dures.
On voudrait que nos enfants absorbent tous les changements sans broncher. Le départ en vacances, le décalage horaire, l’avion, le changement d’environnement, le changement de lit. Que tout puisse changer autour d’eux mais que cela ne change rien chez eux… Sauf que cela ne fonctionne pas comme ça.Read More
Nous sommes tous des mules, nous portons tous notre sac. Sac à dos, sac de voyage, sac de camping, sac à roulettes. Il y a ceux qui prennent des gros sacs et qui mettent un point d’honneur à les porter seuls. Ceux qui prennent plein de petits sacs pour avoir l’impression d’avoir moins d’affaires. Ceux qui le confient à quelqu’un et s’en croient libérés. Ceux sont tellement habitués à ne jamais se défaire de leur bagage, tellement habitués à toujours l’avoir sur leur dos, que c’est comme si leur bagage faisait partie d’eux. Read More
Parfois quand on achète quelque chose, on se trompe. Evidemment, c’est rare que l’on s’en rende compte tout de suite. Le cas échéant, il fau(drai)t vite aller le changer.
Non, la plupart du temps on l’achète, on le lave, on le range. Et on attend. On attend et on oublie presque qu’il est là. Parfois, le matin, quand le moment est venu de choisir les vêtements que l’on va porter, on le voit. On le voit là bien rangé dans le placard. Alors on le sort. On le sort et on le déplie. On le regarde, on l’envisage ; mais on a toujours quelque chose de plus joli à mettre. Quelque chose qui nous va mieux. Quelque chose dans lequel on se sent plus belle.Read More
Beaucoup de questions, quelques pistes de réponses. Un idéal de liberté. Une recherche de justesse, d’harmonie. Une envie de partager ces découvertes et les petits rien qui me font sourire ou réfléchir.
Et pour les fleurs locales, c’est BLOOMETTE – LE BOUQUET LOCAL