La chrysalide
Passion is not a destination
C’est marrant, depuis que mes enfants sont nés, j’ai pour objectif de les aider à trouver leur passion. Un peu comme le Graal. Et c’est marrant parce que, depuis que j’ai lu cette phrase, je pense souvent à la citation de « Happiness is not a destination, it’s a way of life ». Et pourtant je n’ai jamais fait le lien entre les deux. Jamais pensé que la passion pouvait tout simplement être une façon de vivre sa vie à fond. Quoiqu’elle propose. Que ce soit se sortir des impasses ou surfer sur les moments de grâce.
Merci Terry Trespicio pour cette analyse pleine de clarté et de bon sens.Read More
Ho’oponopono
Les faux pas
L’école à la maison
Quand le job de rêve ne fait pas rêver
De la différence entre vue et vision
Quoique l’on voit, ce n’est jamais que notre réalité. La notre. Celle que notre cerveau a reconstitué à partir des éléments visuels qu’il a captés et analysés.
Isaac Lidsky est entrepreneur, éclectique, brillant… et aveugle. D’après lui son handicap est sa force, et quand on l’écoute on arrive presque à en être convaincus.
Parce qu’être aveugle c’est ne plus avoir les préjugés liés au regard des autres sur soi, ne pas se fier aux apparences, remettre en question beaucoup de nos certitudes… et peut-être libérer de la place dans notre cerveau pour penser autrement. Autrement que par notre vue dont l’usage est aujourd’hui certainement disproportionné par rapport à nos autres sens. Etre aveugle c’est voir les choses dans leur globalité, ne pas s’arrêter à une première impression, et laisser nos sens et notre coeur nous apporter la vision que l’on n’avait peut-être jamais eue. Read More
Le meilleur de soi-même n’est pas toujours au top
Parfois on fait n’importe quoi. N’importe quoi genre vraiment n’importe quoi. Sur le coup on ne s’en rend pas forcément compte. Et puis d’un coup on se réveille et c’est trop tard. C’est fait.
Dans le doute, abstiens-toi. Bah oui. Encore aurait-il fallu douter. Encore aurait-il fallu ne pas être dans cette bulle de sensation quasi-alcoolique qui parfois fait faire des choses débiles en état de pleine sobriété. Comme enivré(e) par nos sensations. Comme envivré(e) par nos émotions. La confiance, l’enthousiame, l’envie, le manque, la colère, la peur.Read More
Le besoin d’exclusivité de la fille unique
Parfois, quand on est fille unique, on peut avoir un certain besoin d’exclusivité. Une impression qu’il n’y a que dans un rapport exclusif que l’on peut être aimée. Une impression que tout autre est une menace à l’amour que quelqu’un nous porte. Une impression d’avoir tellement besoin de tellement que tout risque à tout moment de s’arrêter. Un besoin d’exclusivité, une besoin de totalité.
Quand on est fille unique parfois on voit tout de façon bilatérale. Toujours entre deux personnes. Toujours entre une autre personne et soi. Pas par égoïsme. Pas par égocentrisme. Juste comme une impression inconsciente que l’air que l’on respire ne provient que d’une seule source. Une seule source qui doit nous nourrir en continu. Une sensation d’asphyxie quand cette source ne s’occupe pas de nous.
Et un jour on s’aperçoit que non. On s’aperçoit qu’on l’on peut vivre en même temps que les autres. Juste à côté. Se nourrir du même air. Parfois même du même amour. Diversifier les sources. Apprendre à respirer moins fort, moins vite quand c’est nécessaire. Comprendre que l’attention n’est ni limitée ni indivisible. Qu’il n’y a pas à s’inquiéter. Qu’on n’a pas été fille unique parce que nos parents n’avaient pas assez d’amour pour plusieurs enfants. Qu’on n’a pas à avoir peur toute vie d’être abandonnée parce que quelqu’un autre entre dans le cercle d’attention d’une personne à qui l’on tient.

Beaucoup de questions, quelques pistes de réponses. Un idéal de liberté. Une recherche de justesse, d’harmonie. Une envie de partager ces découvertes et les petits rien qui me font sourire ou réfléchir.
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